Le ciel noue ses ficelles, fait pleuvoir ses baguettes, roule ses gros yeux duveteux au-dessus de nos têtes bien garnies.
Les oiseaux tirent des traits dans les nuages, font vriller nos cœurs à force de péripéties.
À trop regarder par la fenêtre nous perdrons notre stabilité, ferons tomber nos tabliers.
Nous passerons nos larmes à gauche.
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